LE DOUY Alexandrine (sœur Marie René Joseph) 1928-2014

Alexandrine LE DOUYSœur Alexandrine est décédée à l’hôpital de Lorient le 1er décembre 2014 à l’âge de 86 ans dont 67 années de vie religieuse.

Mot d’accueil

Sœur Alexandrine est née à Ploaré-Douarnenez le 28 avril1928 dans une famille de 8 enfants.

Après sa profession le 4 août 1947 à Kermaria, elle commence l’enseignement à Guéméné sur Scorff puis au Faouët et ensuite à Plouhinec (Finistère). Dans ces différents postes, elle s’occupe des petits. Très douée de ses mains et artiste, elle sait occuper les enfants et les intéresser. Après quelques années à l’école primaire de Magenta à Rennes, pour raison de santé, elle doit rejoindre la Ste Famille où elle est soignée pendant deux ans, puis elle vient à Quimperlé.

De là, on lui demande d’aller à Paris préparer une licence d’enseignement religieux.
Après une année à Quimper, on l’appelle pour un poste de responsable à la communauté d’Ergué-Armel et de là elle est envoyée à Dunkerque, plus précisément à Petite Synthe fonder une communauté en mission ouvrière en lien avec les petites sœurs de l’ouvrier et les sœurs de l’Assomption, une communauté aux avant postes de la mission, au cœur d’une cité ouvrière. D’après une de ses compagnes, les premières années ont été très dures, mais les 3 sœurs ont tenu parce qu’elles étaient « soudées ». Alexandrine s’occupait de la pastorale dans plusieurs paroisses. Elle a gardé un excellent souvenir des 13 années vécues là-bas et des relations avec des personnes qui ont continué à lui rendre visite et à lui écrire.

En 1984, elle rejoint Pontivy où elle trouve une bonne équipe de prêtres et de laïcs pour continuer la pastorale.
En retraite, après Carhaix, elle vient à Quimper et au bout de 17 ans, pour raison de santé, elle est accueillie à l’EHPAD de Ste Marie du Bouëtiez.

Dans les différentes communautés où elle a vécu, Alexandrine a laissé le souvenir d’une personne agréable à vivre, souriante, accueillante, relationnelle…

Volontaire, ne craignant pas sa peine, Alexandrine est allée jusqu’au bout de ses engagements, par exemple aux vendredis du Braden où elle animait « les groupes de parole » et les « groupes de convivialité ». Très soucieuse des pauvres, elle « allait aux périphéries » comme le dit le Pape François.

Alexandrine était très proche de sa famille. A son frère René, à sa sœur Céline, à ses neveux et nièces, à leurs enfants et petits-enfants, nous disons toute notre sympathie et le soutien de notre prière.

Au revoir, Sandrine, merci pour ta disponibilité et le bon souvenir que tu nous laisses.

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