Anne Manic (Sœur Mie Camille du Christ)

Anne MANIC

Sœur Marie Camille du Christ

1927 – 2021

 

 

Anne Manic est née à Guern en 1925, dans une famille de trois enfants dont elle était l’aînée.

Son père était artisan charpentier et assurait aussi à la paroisse la fonction de sacristain. Anne était très attachée à sa famille, neveux et nièces à qui nous présentons notre sympathie et l’assurance de nos prières.

En septembre 1945, elle entre à Kermaria. Elle prononce ses vœux dans la congrégation des Filles de Jésus le 04 août 1947 et prend le nom de Sr Marie Camille du Christ.

Après avoir fait la classe durant cinq ans aux élèves en fin d’études primaire à Neuillac et à St Barthélémy, elle prépare le monitorat d’Enseignement Ménager Familial et exerce sa profession dans les cours ménagers de Port Louis, Etel et Pont l’Abbé.

Suite à deux années doctrinales à Angers, elle s’engage dans la Pastorale à Vannes, Rennes et au Mont-Dore.

Ses années de retraite, elle les vit à Ussel, Chartres et le Rheu.

Pour des raisons de santé, elle rentre Kermaria en 2013, à la communauté St Yves et puis en 2019 à La Ste Famille.

Anne, comme enseignante et comme permanente en pastorale, tu avais une conscience professionnelle très aiguisée. Tu aimais le travail bien fait, l’engagement jusqu’au bout. Si tu étais exigeante pour les autres, tu l’étais aussi pour toi.

Ta sensibilité ecclésiale t’a fait donner le meilleur de toi-même, les prêtres appréciaient ta collaboration. Tu savais innover et favoriser la participation des parents d’enfants.

Tu avais le goût de la culture, aimais la lecture et te tenais au courant de l’actualité.

Appréciée pour tes dons manuels, tu excellais surtout en cuisine.

Très fraternelle en communauté, le cœur sur la main, tu savais créer une ambiance festive, animant et racontant des histoires, tu avais des trouvailles gentilles pour marquer les fêtes et les anniversaires.

Si tu aimais rendre service, tu étais très reconnaissante pour les services rendus.

Tes dernières années, tes problèmes de santé s’étant aggravés, tu as manifesté de la difficulté à les accepter et à les surmonter. Mais tu cherchais assurément ta force dans une relation à Dieu approfondie dans la prière.

Dans tes derniers instants, lâchant tout, tu n’étais que prière et amour.

Et maintenant, que le Seigneur t’accueille dans sa joie et sa paix.

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